Klaus Schulze ‎– Cyborg (1976, Isadora)

Media NM
Sleeve VG+

Format : x2 LP
Cat N° : ISA 9005/6
Style : Ambient

Après “Join Inn,” Klaus Schulze quitte Ash Ra Tempel pour se consacrer pleinement à sa carrière solo, débutant avec “Irrlicht” en 1972. L’année suivante, il publie “Cyborg,” un double album chez Ohr comprenant une piste par face, similaire à “Zeit” de Tangerine Dream. Contrairement à “Zeit,” les morceaux de Schulze durent entre 23 et 25 minutes. Utilisant un orgue modifié, des enregistrements inversés d’une répétition d’orchestre classique et un amplificateur endommagé, Schulze crée une symphonie cosmique en quatre parties. L’album marque également sa première utilisation du synthétiseur VCS3, acheté à Florian Fricke de Popol Vuh. “Synphära” ouvre l’album avec un orgue céleste et incessant menant une procession cosmique, tandis que “Conphära” offre une atmosphère plus sombre et oppressante avec des ondulations lourdes et des drones inquiétants. “Chromengel” occupe la troisième face avec une ambiance spectrale et nébuleuse, et “Neuronengesang” clôt l’album, évoquant une évasion d’un environnement cosmique hostile avec des pulsations spatiales tendues et des mélodies désenchantées.

After “Join Inn,” Klaus Schulze left Ash Ra Tempel to fully dedicate himself to his solo career, starting with “Irrlicht” in 1972. In the following year, he released “Cyborg,” a double album on Ohr featuring one track per side, similar to Tangerine Dream’s “Zeit.” Unlike “Zeit,” Schulze’s pieces range from 23 to 25 minutes. Using a modified organ, reversed recordings of a classical orchestra rehearsal, and a damaged amplifier, Schulze created a four-part cosmic symphony. The album also marked his first use of the VCS3 synthesizer, purchased from Florian Fricke of Popol Vuh. “Synphära” opens the album with a relentless, celestial organ leading a cosmic procession, while “Conphära” delivers a darker, more oppressive atmosphere with heavy undulations and ominous drones. “Chromengel” occupies the third side with a spectral, nebulous ambiance, and “Neuronengesang” closes the album, evoking an escape from a hostile cosmic environment with tense, spacey pulses and disenchanted melodies.